De Hambourg au Ritz...

Devenu un phénomène de société, le burger a envahi tous les foyers familiaux. Hamburgers, sandwichs garnis ou encore hambourgeois (au Québec), la viande enserrée dans deux tranches de pain est devenue le plus populaire des plats. Près de 700 millions de burgers seraient consommés en France chaque année…

 

C’est la ville de Hambourg, en Allemagne, qui a donné son nom à ce qui était alors la spécialité culinaire du coin. Très vite, le burger passe l’Atlantique pour devenir le produit d’appel de la vente de nourriture à emporter. De retour en Europe, il devient un mets raffiné, que les chefs reprennent à leur compte pour en proposer des déclinaisons variées. Michel Roth, chef au Ritz, a ainsi élaboré une version avec fois gras, bœuf charolais et Comté. Le burger peut être un travail d’orfèvre…

Et côté calories ?

 

Le burger est roboratif, qu’on se le dise ! De là à en faire le meilleur ami du cholestérol, il y a un grand pas. Bien sûr la viande est riche et la sauce est, pour le coup, le piège ultime. Du sucre rapide, du sucre lent et du gras… Pour un burger classique, il vous en coûtera près de 500 kcal, soit un quart des besoins journaliers pour une femme. Le pire est le triple cheeseburger qui flirte avec les 800 kcal. Chez Quick, le burger Spider Man est annoncé à 666 kcal, qui se décomposent en 42 g de glucides, 48 g de protéines et 29 g de lipides. Pour contrebalancer, vous pourrez toujours privilégier un accompagnement fait de légumes à croquer plutôt que de vous jeter sur les frites.

 

La clef reste, là encore, de varier les plaisirs. Et si la volonté vous manquait, louez Super Size me, le film du documentariste américain Morgan Spurlock qui a fait l’expérience de se nourrir exclusivement dans un fast food pendant 30 jours. Tout un programme...

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